Feuilles de journal
Clermont l’Hérault, 25/07/2015
Je n’aurais probablement pas découvert l’existence de Paul Dardé si quelques affaires administratives ne m’avaient pas amenées, deux fois par mois pendant cette dernière année, à Lodève.
Lodève est une ville avec seulement 7500 habitants, qui se trouve à égale distance de Montpellier et de Béziers, au cœur du département de l’Hérault.
La ville, avec une histoire millénaire, a connu ses heures de gloire et de malheur tout au long des siècles, évènements qui ont laissé des monuments remarquables. Etant quelque peu en dehors des grands axes touristiques et évitée par l’autoroute qui descend de Paris vers la côte méditerranéenne, Lodève a gardé un air d’authenticité qu’on ne rencontre plus dans les grands centres visités par des milliers de touristes en vacances.
J’aurai à l’avenir l’occasion de décrire la ville avec beaucoup plus de détails. Mais aujourd’hui, je souhaiterais ramener dans l’actualité un artiste un peu oublié et qui a laissé dans la région d’innombrables œuvres intéressantes, quelquefois inattendues, tout comme son étrange destin.