Soirées (IV) de « Monsieur-le-Prince »…

SERVICE APRES-VENTE

 

Paris, le 7/12/2023

« On n’est jamais à l’abri d’une bonne surprise ! », comme affirmait un autre de mes amis.

L’encre de l’écriture de ce texte à peine séchée, voilà que l’on me propose un autre spectacle, selon les conditions précitées et toujours à la Comédie Saint-Michel.

« It’s an offer I can’t refuse ! »

Cette fois-ci, il s’agit d’une pièce de théâtre intitulée : « Célimène et le Cardinal ».

Selon l‘Officiel des spectacles :

« À la fin du Misanthrope, Alceste et Célimène se querellent. Célimène a de nombreux soupirants et refuse de faire un choix définitif. Alceste, amoureux impulsif et écorché vif, rompt alors avec elle et part pour le “désert”. La pièce met en scène les retrouvailles des amants, vingt ans après leur séparation. La rencontre a lieu chez Célimène entre un janséniste rigide et une libertine avant l’heure.

Critique virulente de la société, Célimène et le Cardinal est un clin d’œil moderne à l’œuvre de Molière, mais aussi aux problématiques actuelles sous forme d’hymne à la langue française et à la poésie. »

J’avoue que mes relations avec le théâtre de Molière ont eu un parcours… un peu en dents de scie ! Continue reading

Soirées (III) de « Monsieur-le-Prince »…

La troisième étape de mon odyssée germanopratine m’a amené dans un endroit « iconique » de la culture parisienne : « Le Champo ».

J’ai déjà eu l’occasion de parler de cet endroit dans un texte intitulé :

« Le Champo » à 80+… | ADRIAN ROZEI (adrian-rozei.net)

Je disais alors :

« Tout un chacun connait le cinéma qui se trouve, en plein Quartier Latin, à l’angle de la rue des Écoles et de la rue Champollion. D’où son nom !

Je ne me souviens pas à quelle date précise je suis allé, pour la première fois, au « Champo » ! Mais c’était certainement entre 1967 et 1970, alors que j’étais étudiant.  Pas à Paris, mais à St. Étienne. Donc, je ne peux même pas me reprocher quelque chose, comme l’affirme la directrice du cinéma, à propos des étudiants du Quartier Latin qui « dès l’ouverture, ont préfères les fauteuils de sa salle du Champo aux bancs des amphithéâtres universitaires ». Et Christiane Renavand ajoutait : « Nous avons beaucoup de fautes sur la conscience » !

C’est vrai ! Continue reading