La Bastide Vieille, le 17/02/2020
Pendant les cinq jours passés à New-York, mes peintures d’Argentine ont dormi tranquillement dans ma valise.
Bien-sûr, je suis allé visiter quelques musées et j’ai essayé de m’inspirer, à chaque fois, de la manière dont on encadre ce genre de tableau.
Ce n’est pas parce que leur prix est ridiculement bas qu’il faut sacrifier « la mise en page » ! Même si j’étais conscient que le prix du cadre risquerait de dépasser -et de loin !- celui des peintures !
Je suis même allé au Met où, après avoir vu l’exposition « Making Marvels – Science & Splendor at the Courts of Europe », j’ai fait un tour dans les collections permanentes.
Mais ici, à mon grand désespoir, je n’ai pas trouvé des « ángeles arcabuceros».
Nobody’s perfect !
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Une fois arrivé en France, je me suis dit qu’il ne faut pas abandonner la lutte sans combat ! Même si les expériences du passé tentent à prouver qu’il ne s’agit pas de l’endroit idéal pour trouver un encadreur compétent, bon marché et proposant une large gamme de cadres, dans tous les styles. Continue reading