« Les clés du Paradis »… la Vatican!

La Bastide Vieille, 15/03/2021

 

Cu siguranţă că n-aş fi aflat niciodată ce este un « clavigero » dacă n-aş fi citit un articol publicat în revista « Point de vue » din luna iulie 2020 !

In acest text, ni se spune, cu multe detalii, că la Vatican există un personaj unic în lume : este funcţionarul care deţine cele 2797 de chei ce deschid « porţile celor mai frumoase comori ale istoriei şi artei mondiale ». 

In acest moment, şi din anul 2012, postul de « clavigero » este ocupat de Giovanni Crea, un fost « carabinier », mândru de responsabilităţile pe care le deţine. 

 « In fiecare dimineaţă, simt o senzaţie unică. », spune Giovanni. « O impresie extraordinară, niciodată aceeaşi, ca şi cum aş respira un aer magic când deschid poarta Capelei Sixtine şi admir fresca lui Michelangelo, singur şi în liniştea cea mai totală. Cum aş putea să mă plictisesc de aşa ceva ? ». 

Sunt mai bine de 20 ani, de când Giovanni Crea lucrează în « Cità del Vaticano ». Pe atunci, el era un simplu student, care dorea să devină magistrat, şi avea nevoie de un loc de muncă provizoriu pentru a-şi finanţa studiilede drept. Continue reading

Lembranças do Brasil (III)

Comme à la Samaritaine !

Rio de Janeiro, 24/03/2018

 

Le Brésil, …c’est comme à la Samaritaine : « A chaque minute, il se passe quelque chose ! »

Je suis arrivé à Rio avec 20 min d’avance sur l’horaire. Tant mieux!

Le « Routard » 2016 annonçait un prix du taxi de 125 Reais pour Copacabana, plus le supplément de nuit (tarif 2).

J’ai refusé le forfait à 98 Reais et j’ai pris le taxi jaune standard. Malgré le contrôle « Blitz » de l’armée, qui nous a ralenti sur la route, à l’arrivée le compteur marquait… 75 Reais. J’ai arrondi à 80. 

Mais, le chauffeur m’a donné la carte de sa société. Pour le retour, je payerai …seulement 50 Reais! C’est déjà ça de gagné !

À l’hôtel « Olinda », j’ai habité dans les premières années de mes séjours à Rio, dans la décennie ’70.

C’est un hôtel dans le style « Art Déco », avec un restaurant donnant sur la plage de Copacabana, avec des meubles et des boiseries en bois précieux, au milieu de la baie.

À l’époque, je l’avais choisi parce que mon oncle habitait juste à côté.

Comme il avait survécu à une crise cardiaque, il avait décidé que, s’il voulait revoir le jour le lendemain, il devait toucher chaque matin deux rochers, à un bout et à l’autre de la plage. Ça lui faisait une dizaine de km. de marche, tous les jours! Continue reading