La Bastide Vieille, le 17/02/2020
L’étape romaine était le moment clé de ce périple israélo-italien !
Puisque, dans les étapes précédentes, il s’agissait de ramasser les fruits des actions du passé, alors qu’à Rome il fallait livrer une nouvelle bataille : celle de l’encadrement des tableaux argentins !
Les données du problème étaient connues et définies de longue date. Il s’agissait, dans un premier temps, de trouver des cadres adaptés aux peintures de style colonial sud-américain, à un prix raisonnable, et faire faire le travail dans le laps de temps dont je disposais à Rome.
Dans un deuxième temps, arriver à transporter les tableaux encadrés en avion, jusqu’à Paris, sans me ruiner et sans les abîmer !
Plutôt simple !
Facile à dire ! Mais à réaliser ? Les paris sont ouverts.
Je bénéficiais, heureusement, de l’expérience du passé : trois tableaux encadrés déjà à Rome et trimbalés à travers 5 pays européens. Continue reading