« Murales », « fresques »… l’aventure continue ! (II)

Boulogne, le 20/04/2024

 

Parti en si bon chemin, je n’allais pas abandonner mes recherches « Street-Art » !

Il faut dire que, il y a déjà un bon moment, j’ai acheté le « livre de chevet » de l’amateur de « Street-Art » à Paris :  « Guide du STREET ART à Paris ».

Dans ce livre, et je possède la « Nouvelle édition » de 2022, sont listés « 8 itinéraires + cartes » que l’on peut suivre en flânant dans la Ville-lumière.

Dès la page 11, les auteurs du livre nous avertissent :

« …il est possible qu’au moment de votre visite peu d’œuvres soient visibles. L’art urbain est un art éphémère en renouvellement constant, et beaucoup des créations photographiées dans ces pages auront immanquablement disparu – effacées ou remplacées par d’autres. N’hésitez pas à refaire les parcours plusieurs fois, à des saisons différentes – les artistes préfèrent peindre et coller au printemps et en été. »

Me voilà donc devant un dilemme kafkaïen :

-dois-je courir vite, vite… pour ne pas rater un seul des « chef-d’ œuvres » listés,

-ou dois-je en profiter « à la longue », tout en sachant que leur durée de vie est limitée et que leur nombre n’est pas extensible ?

Le livre de Thom Thom & Chrixcel nous suggère la réponse : « Enfin, et c’est une promesse, si vous ouvrez l’œil, il y aura toujours quelque chose à voir ! »

J’attends, quelques fois, l’occasion pour courir dans un quartier un peu « hors de mes chemins habituels », d’autres fois, je m’organise ce que j’appelle (et cela depuis 70 ans, à Bucarest, dans la ville de mon enfance) « une promenade d’architecture », qui intègre aussi des étapes « Street-Art ».   Continue reading

« Roule, roule train du plaisir »… toute la nuit ! (III)

La Bastide Vieille, le 15/08/2020

 

Pendant les années qui ont suivi, je prenais régulièrement le train de nuit vers l’Italie : des fois pour Milan, d’autres fois pour Turin, rarement pour Venise ou Rome. 

Mais je gardais toujours, à la fin de mes voyages en Italie, un billet de 10000 Lires !

Il devait me servir, à l’occasion du voyage suivant, en arrivant le matin tôt dans la gare de mon choix, à payer le premier (vrai !) café italien !

Sans avoir besoin de courir, pendant la courte escale, pour changer des francs.

Et, bien plus tard, pour acheter le journal local, « La Stampa » à Turin,  « Il Messagero » à Rome, « Corriere della Serra » à Milan, « Il resto del Carlino » à Bologne, « Il Gazzetino » à Venise etc., afin de me mettre au courant des dernières nouvelles du pays et, éventuellement, des événements culturels à venir.

Si je précise que je ne prenais pas le train de nuit jusqu’à Rome, c’est parce que j’avais découvert le bonheur de longer la côte italienne entre Gênes et Rome, de jour.

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