No sport, …but « Belem » ! (V)

Boulogne, le 30/05/2024

 

La première fois, ce fut après son reconditionnement dans le chantier naval de Nantes, devenu depuis son port d’attache. A ce moment, afin de le faire connaître par les habitants de Paris, il a été amené sur la Seine et amarré à un quai, juste au pied de la tour Eiffel. Je ne peux pas préciser la date exacte parce que je n’ai trouvé aucune information à ce sujet ! Peut-être parce que, pour le faire passer sous les ponts de Paris, il a fallu… le démâter !

Il me semble que c’était au début des années ‘80. 

Pour la deuxième fois, j’en ai déjà parlé, c’était en 1989 pour « Les Voiles de la Liberté ».

Un rendez-vous raté !

Heureusement, il y a eu le troisième !

En 2016, j’étais à Bordeaux pour rendre visite à des amis. Continue reading

Une autre Violetta Valéry !

Paris, le 06/03/2023

Ce texte a été publié dans la revue « Planet Paris Montmartre » no. 10 du 2e trimestre 2023.

Georges Brassens disait, il y a déjà un demi-siècle, parlant de celui qui serait enterré à la plage de Sète, qu’il « passe sa mort en vacances » !

Pour les parisiens, qui aiment tant la montagne, il y a une possibilité pour « passer sa mort sur les cimes » en se faisant enterrer au cimetière de Montmartre !

Mais, surtout pas dans celui de Montparnasse ! Parce que, contrairement à ce que l’on peut imaginer d’après son nom, ce dernier ne se trouve pas sur une montagne.

« Le cimetière du Montparnasse a été ouvert en 1824 hors la barrière du Montparnasse au sud de l’enceinte des Fermiers généraux qui délimitait alors la ville. » D’ailleurs, son nom, à l’origine, était « Cimetière du Sud ». Comme le nom de celui de Montmartre était, à ses débuts, « le Cimetière du Nord ». Continue reading

Un automne de porcelaine… (II)

Paris, le 10 septembre 2022

A quelques pas des Folies Bergère, j’ai reconnu l’angle de la rue Bergère avec la rue de Trévise.

Si nous avons fréquenté cette rue pendant un bon moment, à notre arrivée à Paris, c’est parce qu’ici se trouvait une cantine à bas prix financée par un organisme de secours aux démunis.

Selon le « Dictionnaire des rues de Paris », cette rue « ouverte en 1836 entre les rues Richier et Bleue, a été prolongée… en 1844, jusqu’à la rue Bergère.

Elle doit son nom au Maréchal Mortier, duc de Trévise (1768 – 1835), tué l’année d’avant son ouverture dans l’attentat de Fieschi contre le roi Louis-Philippe. »

Tout ça ne colle pas du tout avec mes souvenirs.  Et pour cause !

Dans mon désir de faire rattacher mon actualité du moment à mes lectures de jeunesse, j’ai confondu « Trévise » et « Tréville » !

Dans mes souvenirs, D’Artagnan, le héros du roman d’Alexandre Dumas « Les trois mousquetaires », arrivait à Paris avec une lettre de recommandation pour M. de Trévise. Continue reading

Une piqure de rappel ! (I)

Agde, 01/09/2021

 

« Ultima noapte de dragoste, întâia noapte de război. »

C’est le titre d’un roman des années ‘30, l’œuvre de l’écrivain roumain Camil Petrescu, bien connu par tout lycéen en Roumanie, qui l’étudie et l’analyse… à satiété.

En français : « Dernière nuit d’amour, première nuit de guerre * »

C’est la similitude du titre avec l’actualité, qui me vient à l’esprit en ce jour du 1er septembre !

Avec quelques (petites) différences : si nous avons laissé derrière nous la « dernière nuit de l’été », nous ne vivons pas la « première nuit de guerre » ! Puisque, selon le prince qui nous gouverne, nous sommes en guerre depuis, bientôt, une année et demie! 

Mais, comme dans toute guerre qui se respecte, nous devons livrer plusieurs batailles. Pour moi, il s’agit de ma troisième bataille ! Que j’espère gagner, comme les deux batailles précédentes ! 

De quoi s’agit-il ? Simple !

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ADEVĂRUL DESPRE FONDAREA JOCURILOR OLIMPICE MODERNE

Acest text a fost publicat în revista „3R – Rădăcini, Racines, Radici”, no. 43 -48 iulie –decembrie 2021„ editată de asociaţia „Memorie şi Speranţă” la Bucureşti (România).

La Bastide Vieille, 26 iulie 2021

În 2004, scriam, în revista « Dorul » din Danemarca, următorul text, intitulat „ Citius, altius, fortius… „ :

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Oricare elev de liceu căruia îi vei pune întrebarea: ,,Cine a creat Jocurile Olimpice moderne?”, îţi va răspunde: ,,Baronul Pierre de Coubertin”. Cel puţin, în timpul celor câteva săptămâni în care se desfăşoară această manifestaţie, o dată la patru ani, şi când toate programele de televiziune nu se mai ocupă de nimic altceva.

E şi normal, pentru că această ,,vacă de muls” generează cu atât mai multe beneficii cu cât se vorbeşte mai mult despre ea!

Însă foarte puţini sunt cei care stiu că, de fapt, Jocurile Olimpice moderne au existat timp de aproape jumătate de secol înaintea celor iniţiate în 1894 de Pierre de Coubertin!

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În 1833, la numai doisprezece ani după crearea statului grec modern, atmosfera generală elenă exalta virtuţile şi realizările Greciei antice. În această ambianţă naţionalistă, în care tot omul de pe stradă visa la restaurarea măreţiei bizantino-elene, Alexandru Soutsos, marele poet grec, publică în revista ,,Helios” un poem care incita la organizarea unor ,,Concursuri Olimpice”, în spiritul celor practicate în antichitate. Acest mesaj corespundea şi cu interesul stârnit de primele cercetări arheologice în zona corespunzătoare templului lui Zeus din Olimpia, care fuseseră iniţiate de francezul Abel Blouet în 1829. Continue reading